on ne passe pas...Plus de morgue, plus d'arrogance,Fuyez barbares et laquais,C'est ici la porte de France,Et vous ne passerez jamais!Mais nos enfants, dans un élan sublime,Se sont dressés; et bientôt l'aigle noir,La rage au cœur impuissant en son crime,Vit disparaître son suprême espoirLes vils corbeaux devant l'âme françaiseTombent sanglants, c'est le dernier combatPendant que nous chantons la Marseillaise,Les assassins fuient devant les soldats.Et Verdun, la victorieuse,Pousse un cri que portent là-basLes échos des bords de la Meuse,Halte là ! (bis), Les hommes sont là groupés près de nousLa la la la, la laLe sang s'est répandu sur son treillisLa la la la, la laC'était un ancien, un grand alsacienQui s'était battu, tant qu'il avait puMais il est mortIl ne nous reste que son corpsLa la la la, la laLa la la la, la laOn l'a mis bien au chaud dans son pépinLa la la la, la laY avait de l'eau dans les yeux des copainsLa la la la, la laPourquoi ce gars là est-il mort pourquoiA t'il cet air là, serein et narquoisOn ne sait pasMais c'est sur qu'on s'en souviendraLa la la la, la laLa la la la, la laIl n'était pas tout à fait comme nousLa la la la, la laJamais de bar ni de machines à sousLa la la la, la laIl disait souvent les mots c'est du ventQuand y a rien à faire, il vaut mieux se taireD'où venait-ilCe sous-off qu'était pas facileLa la la la, la laLa la la la, la laMaintenant qu'il est à six pieds sous terreLa la la la, la laAyant reçu les honneurs de la guerreLa la la la, la laOn l'entendra plus dire "j'en ai plein le cul"Sans lui on est triste, on traîne sur la pisteCe vétéranQui vit encore parmi nos rangsLa la la la, la laLa la la la, la la. oh ! (bis)Soldat du régiment quand tu partiras au loinSouviens-toi ardemment des hauts faits de tes anciensHonore leurs mémoires en saluant l'étendardCent vingt et un, Transporte et combat. | (bis). (bis). Soupirait la bergère,Que répondront nos parents ?Comment ferons-nous,Nous n'avons pas d'argent,Pour nous marier dès le printemps ?Étoile des neiges, sèche tes beaux yeux,Le ciel protège les amoureux,Je pars en voyage pour qu'à mon retour,À tout jamais plus rien n'empêche notre amour.Alors il partit pour la ville,Et ramoneur il se fit,Sur les cheminéesDans le vent et la pluie,Comme un petit diable noir de suie.Étoile des neiges, sèche tes beaux yeux,Le ciel protège ton amoureux,Ne perds pas de courage, il te reviendra,Et tu seras bientôt entre ses bras.Et quand les beaux jours refleurirent,Il s'en revint au hameau,Et sa fiancée l'attendait tout là-hautParmi les clochettes du troupeauÉtoile des neiges, tes garçons d'honneurVont en cortège portant des fleursPar un mariage finit mon histoireDe la bergère et de son petit savoyard. Tiens, voilà le 33Regardez passer ses soldatsMarsouins, Bigors fiers de l'ancre d'OrN'ont pas peur de plus rudes effortsDans l'humide GuyaneOu dans la poussière des savanesEn Guadeloupe et en MartiniqueIls gardent leur allure dynamique.Nos anciens ont lutté pour sauver la libertéDans l'Aisne et en Champagne ils ont toujours su montrerPar leurs actions d'éclat, dans les plus durs combatsQu'entre frères ils pouvaient tout espérerDe Verdun à la Marne, ils ont toujours résisté,Et jamais à l'honneur ils n'ont failliPuisse leur gloire et leur fidélitéServir d'exemple aux Marsouins d'aujourd'hui.Fiers Marsouins du 33Chantons tous d'une même voixCes chants guerriers qui proclameront"Respect, honneur à nos traditions"Fort de notre rigueur,Nous serons toujours les meilleursSachons que celui qui verraDira "c'est un Marsouin du 33"On est comme ça au 33. Dans les prisons de Nantes, landi...Dans les prisons de Nantes, il y avait un prisonnier (bis).Personne ne vint le voir,...Personne ne vint le voir, que la fille du geôlier (bis).Elle lui apporte à boire,...Elle lui apporte à boire, à boire et à manger (bis).Et des chemises blanches,...Et des chemises blanches, quand il veut en changer (bis).Un jour, il lui demande,...Un jour, il lui demande, oui que dit-on de moi (bis).On dit de vous en ville,...On dit de vous en ville, que vous serez pendu (bis).Sil faut que l'on me pende,...Sil faut que l'on me pende, déliez-moi les pieds (bis).La fille encore jeunette,...La fille encore jeunette, les pieds lui a déliés (bis).Le prisonnier alerte,...Le prisonnier alerte, dans la Loire a sauté (bis).Dès qu'il fut sur la rive,...Dès qu'il fut sur la rive, il se mit à chanter (bis).Je chante pour les belles,...Je chante pour les belles, surtout celle du geôlier (bis).Si je reviens à Nantes,...Si je reviens à Nantes, oui je l'épouserais (bis).Dans les prisons de Nantes,...Dans les prisons de Nantes, y avait un prisonnier (bis). 14/04/09 : plus de 2500 chansons ajoutées (pour un total de plus de 4260) grâce à Joan. Oh ! (bis)Va t'en vite à la maison,Ta mère qui t'appelle,Va t'en vite à la maison,Ta mère qui t'attend. Héritier de la noble devise,Honneur et fidélité,Pour la lointaine terre promise,Sans faillir tu es tombé.Chef de guerre, hors de pair,Ton image à la nuit fut vouée,Ne trouvant pour unique salaire (bis)Que d'être de l'Histoire oubliée.Colonel Gaucher, voici venir le tempsOù Saint-Cyriens ardentsIront au fronton de l'histoireGraver ton nom, honorer ta mémoirePour prix de la vie en lettres de sang.Tes soldats ces braves légionnaires,Bannis, exilés, impursOnt semé la mort, connu l'enfer,Souffrant sans même un murmure.Ils marchèrent derrière toi,Invaincus, sans peur et sans remords.Mais le sort, qu'irritait votre foi, (bis)Au Tonkin sonna l'heure de la mort.Gaucher te souviens-tu de ce temps,Où chevalerie nouvelle,Tu portais Casoar et gants blancs,Jurant de rester fidèle.En hommage à ton nom,La promotion te rend les honneurs.À l'assaut un jour nous monterons, (bis)Tous ensemble emplis de ton ardeur. La terre lointaine qui t'a tendu ses brasAu détour d'une piste ton sang elle boiraLa tradition du sang versé se perpétueServir, avec honneur est ta plus chère vertuTu as tout donné pour la FranceAu retentir de vengeanceTu as rejoins ce réseauPour y combattre sans reposLa Légion ne pleure pas ses mortsSaint-Cyr veut qu'on les honore.Ce soir à genou nous juronsDe porter fièrement votre nom.Capitaine Hamacek vous restezPar delà le sang verséL'officier Saint-Cyrien dévouéQue nôtre foi vient saluer.Ta jeunesse et un grand sens du devoirT'ont fait porter les gants blancs et le casoar"Veille au drapeau" ta grande et noble promotionSe couvre encore de gloire et d'honneur par ton nom.Vous qui croyiez en l'IndochineJusqu'au sacrifice ultimeEn nous toujours résonneraLe "Legio Patria Nostra". Vous qui êtes devenu notre parrainNous aurions été fiers d'être un de vos marsouinsVous avez défendu avec honneur et courageLes couleurs de notre patrie dans les pays sauvagesDepuis les marécages infestés du TonkinAux confins des brûlants déserts africainsVous avez mené vos hommes à la victoireVous drapant ainsi dans la gloireMais par humanité et votre simplicitéVous avez su éviter la popularitéEt faire naître le respect chez vos ennemisVos soldats resteront toujours vos fidèles amisC'est pour cela que la 123e promotion est fièreEst honorée de vous avoir choisi comme parrainElle vous fait la promesse d'être toujours digneDe porter votre nom. Dans le ciel des PyrénéesIls s'élancent sans hésiterL'action est la joie de leur âmeLe béret rouge leur oriflammeHéritiers de nobles traditions,Jusqu'au bout nous servironsL'Arsenal, Forez et Béarn,Dans le fracas des mitraillesIls sont venus pour servirVaincre et s'il le faut mourirCeux qui sautent du haut des cieuxVers un avenir glorieuxHéritiers de nobles traditions,Jusqu'au bout nous servironsÀ Beyrouth et à ZéraldaSarajevo, N'DjamenaNos anciens t'ont montré la pisteTu dois suivre, parachutisteTon ardeur est conquéranteForgée pour défier la tourmenteHéritiers de nobles traditions,Jusqu'au bout nous servironsDaguet, Trident et PamirSoutenir sans jamais subirRégiment des PyrénéesRend hommage à tes aînésTon engagement tout horizonFais la gloire de ton nomHéritiers de nobles traditions,Continuons à tracer le sillonParas au son du canonRestons tous unis comme au front ! avec mes sabots !S'il fleurit, je serai reine, Avec mes sabots, (bis)Mais s'il meurt, je perds ma peine,Avec mes sabots dondaine,Oh ! Sur Kolwezi ils ont sautéCes Français par le sang verséServant la paix, la libertéExemples pour nous, officiers.Ils ont honoré leur drapeauReprenons le flambeauÀ la gloire de la LégionMore MajorumSous un ciel lourd, chargé d'oragesIls ont délivré les otagesDans l'honneur, la fidélitéComme eux, servons avec fierté.Fidélité aux traditionsUnis par notre promotionPartout où le combat fait signeDe nos anciens montrons-nous dignes. Il était fort et puis si tendreQue dès notre première nuitJ'compris que j'pourrais plus m'reprendreEt qu'pour toujours j'étais à luiJ'voyais toutes les femmes lui sourireMais je m'cramponnais à son brasEt j'les r'gardais comm' pour leur dire :"Il est à moi et je lach' pas".Des fois, quand il avait la fièvreIl parlait trop et j'avais peurJe mettais sa main sur ses lèvresPour pas connaîtr' le fond d'son cœur;Car je sentais que son âmeY avait des larm's et du cafard,Et je m'disais "C'est pour un' femme"Quand j'ai compris... C'était trop tard !Lorsque j'ai connu ma rivale,Alors j'ai serré fort mes bras,Pour qu' cett' grand' garc' : "La Coloniale"Lui fiche la paix et n'me l'vol' pasEt lui, il m'avait dit : "Je reste"Mais un beau jour il est r'partiVers ces pays que je déteste,Dont il rêvait souvent la nuit.C'était un gars de la Coloniale.Il avait là, partant du front,Et descendant jusqu'au menton,Un' cicatric' en diagonale. "M'sieu d'Turenne a dit aux ProvençauxTrès désireux d'entendre les cigales.M'sieu d'Turenne a dit aux Provençaux :"La poudre chante à l'heure des assauts.Dans l'air en feu vous entendrezAutour de vous la musique des balles.Dans l'air en feu vous entendrezDes cigalons de soleil enivrés. Oh ! Le sang versé des maquisardsBrûle dans nos cœurs tandis que dans le noirScintille sur nos rangs, l'étoile verte des vainqueursCeux qui portaient la mort au brasEt jusque dans les rangs de l'occupantGarderont ta devise : la sueur épargne le sang.Capitaine Stéphane viens armer nos brasEt forges nos cœurs dans le feu du combatSois le guide à nos âmes impatientesFlamme rayonnanteCapitaine Stéphane nous suivons tes pas.Nos destins se forment dans ton ombreToi que la mort épargna dans les AlpesMais qui fus emporté par le dragon indochinoisEn toi nous trouverons la forceDe ne jamais succomber à la peurDe servir dans l'honneur, fidèles à tes valeurs guerrières.À jamais le Maroc et les AlpesSeront pour nous marqués de cette empreinteQu'admire l'officier lorsqu'il contemple son HistoireCe souffle dans nos CasoarsRavive la flamme du Capitaine PoiteauQui comme nous un soir rendit l'hommage au Drapeau. Jeunesse et fleurs du temps passéTire les chaînes, tire tes peines,Adieu les jours enfuisTire sans merci. - Ecole Nationale des Sous-Officiers d'Active (ENSOA), - Ecole Spéciale Militaire de Saint-Cyr (ESM), Chants historiques, anciens ou de traditions, Fanfare de cavalerie de la Garde Républicaine, Les clefs de la Victoire - Chant du 5ème BMAT, Chant des Parachutistes : (Les chants des RPIMa sont dans la rubrique en dessous ! Quand les ennemis foulèrent le territoireLes soldats d'Marchand, Gouraud, Mangin, GallièniMarchaient au canon chantant ivre de gloireTenez bon les gars ça n'est pas finiMais sur l'Yser, en Champagne en AlsaceLibre à Belfort augmentant leur valeurLe régiment invincible et tenacePorta plus haut l'emblème aux trois couleursNarguant la mort et jetant leur flingotIls se battaient à coup de poing, au couteau. Tes Anciens ont souffert sur la pisteComme des chevaliers et des preuxDans ton cœur, sois le parachutisteToujours prêt à faire aussi bien qu'euxCar il faudra para, car il faudra paraEn découdrePar le poignard et par la poudreRien ne saurait t'émouvoirPara, rude parachutisteC'est ta loi dans les dangers de la pisteRien ne saurait t'émouvoirTon chemin sera toujours la pisteDans la nuit, la chaleur ou le froidOù sans un cri tombe un parachutistePiste sans fin toujours devant toiCar il faudra para, car il faudra paraEn découdrePar le poignard et par la poudreSi tu dois en finir sur la pisteQue ce soit en beauté comme ceuxQui sont morts en vrais parachutistesComme des chevaliers et des preuxCar il faudra para, car il faudra paraEn découdrePar le poignard et par la poudre. PS : Ils sont classés par catégorie et ordre alphabétique. (bis)Il brave la tourmente des batailles des grandes guerresRemonte la voie sacrée pour le soutien de ses frèresLes rafales et les bombes n'arrêtent pas ses convoisCent vingt et un, Transporte et combat. Je suis un tambour miniatureMarquez le pasOn m'admire pour ma belle staturePar le flanc droitJ'ai fait trois fois le tour du mondeAu garde à vousJ'ai courtisé des brunes et des blondesSerrez les rangsEt de moi l'on dira toujoursAu garde à vousQu' j'étais foutu pour la guerre et l'amourTireur deboutJ'ai perdu mes jambes à GravelotteJ'ai perdu mes deux bras à ValmyAu Tonkin, j'ai perdu ma culotteEt le reste, dans le faubourg Saint-DenisChez la mère cass' biteAh ! les p'tit'femmes.Les p'tit'femmes, les fiancées !Qui c'est qui s'les tape,Qui c'est qui s'les tape,C'est la Compagnie MontéeOh, Susanna, les femmes, les fiancées.Oh, Susanna ! avec mes sabots !Un bouquet de marjolaine, Avec mes sabots, (bis)S'il fleurit, je serai reine,Avec mes sabots dondaine,Oh ! Ah ! Te souviens-tu ? Boire un petit coup c'est agréableBoire un petit coup, c'est doux,Mais il ne faut pas rouler dessous la table,Boire un petit coup c'est agréable,Boire un petit coup, c'est doux.Un petit coup tra-la-la-la (bis)Un petit coup, c'est doux.Allons dans les bois, ma mignonette,Allons dans les bois du roi,Nous y cueillerons la fraîche violetteAllons dans les bois, ma mignonette,Allons dans les bois du roi.Dans les bois tra-la-la-la [bis]Oui, dans les bois du roiJ'aime le jambon et la saucisse,Et j'aime le vin quand il est bon,Mais j'aime encore mieux le lait de ma nourrice,J'aime le jambon et la saucisse,J'aime le vin quand il est bon.J'aime le vin tra-la-la-la (bis)J'aime le vin quand il est bon.Non, Benoît, tu n'auras pas ma roseNon, Benoît, tu n'auras rienMonsieur le curé a défendu la choseNon, Benoît, tu n'auras pas ma rose,Non, Benoît, tu n'auras rien.Non, Benoît tra-la-la-la [bis]Tu n'auras rien. "Opération Castor" est notre promotion,Gloire aux vivants et aux morts,Qui luttèrent pour la Nation.Saint-Cyr nous arrivons,De tous les horizons,Et ensemble formons,Le Quatrième Bataillon.Tout comme nos grands anciensDe l'Opération Castor,Qui en sautant là-bas osèrent braver la mort,Quatrième Bataillon, montre que tu es fort,Pense à cette épopée,A ces vaillants guerriers,Qui là-bas sur l'horizon étaient parachutés.Soyons dignes de ceux qui se sont sacrifiés. Jeune bottier, à 20 ans décides de t'engager,Avec les zouaves, tu t'en rejoins AlgerPuis chasseur en Crimée, là ta vie manques laisserEn bravant fièrement, l'ennemi tant redouté .Caporal à Camerone, parmi les soixante-deuxLieutenant à Bazeilles, héros de la division bleueTu resteras pour nous l'exemple du courageQuand un jour, nous aussi, nous affronterons l'orage.De la guerre en Crimée tu en reviens blesséSur ta poitrine une croix accrochéeAu premier étranger, tu pars pour t'engagerDans l'action, avec cœur, luttant pour la liberté.Caporal à Camerone, parmi les soixante-deuxLieutenant à Bazeilles, héros de la division bleueTu resteras pour nous l'exemple du courageQuand un jour, nous aussi, nous affronterons l'orage.L'air suffocant, accablant, le soleil desséchant,N'ont pas d'effet sur ta foi et ton allantTu mènes le dernier des combats à l'haciendaPrisonnier, échangé, mais contre deux cents soldats .Caporal à Camerone, parmi les soixante-deuxLieutenant à Bazeilles, héros de la division bleueTu resteras pour nous l'exemple du courageQuand un jour, nous aussi, nous affronterons l'orage.Puis en Afrique, en Asie, tu combats par tous les temps,Forçant tempêtes, traversant océansTu meurs dans le silence, en Dordogne reposantTu t'appelais "Capitaine Maine, Caporal à Camerone". La Grande Guerre déchirait notre belle patrieLa France dans la tempête appelait ses enfantsDelvert sous ces sombres nuages vint gravementMenant ses hommes avec courage pour son paysEn ce jour enseignez l'audace et la grandeurAu bataillon qui s'avance dans l'honneurCommandant Charles Delvert, pour marcherSur vos traces nous servons, jeunes officiers !À l'automne de la guerre, sous un rideau de pluieLa boue recouvre les hommes d'un linceul infini.Quand vous menez l'assaut se lèvent parmi les ombresCes hommes et le drapeau défiant l'orage sombre.Dans la fumée des canons, héros du fort de Vaux,Vous avez bravé la mort, contenu les assauts.Malgré le froid, le feu, la peur de l'inconnu,Quand sonne la relève vous restez invaincu.La plume remplaçant l'épée célébrera la victoire.L'homme sortant des tranchées nous conta son histoire.Humbles "Carnets d'un Fantassin", par cet ouvrage,Vous associez à nos destins un héritage.Voyez vos fils droits et fiers, qu'éclairent les étoiles,Rêvant sous cette bannière d'être un jour votre égal.Célébrons la plume qui honore la mémoireDe ceux par qui la France emporta la victoire. Et le bras droit ! [Commandant]Bulle, nos âmes gravissant les sommets [Suivront vos pas].Parrain, Cyrard [Commandant]Bulle, la gloire [De vos alpins]Un élan au cœur, c'est le choix de l'honneur.Pour la Nation,Vous consacrezNotre promotion.Confronté à l'invasion du paysCombattez les Alpini.Dans la tourmente : seigneur des cimes,Le chef en première ligne.Vous forgez votre légende à l'EnclaveCelle d'un chasseur admirablePortant vos hommes pour les sauverAu bas des monts enneigésVous démontrez votre courageVotre vaillance, chef dévouéLe plus sublime des panaches :Votre humilitéRefusant l'ombre de la croix gamméeC'est en Résistance arméeQue se poursuivra votre combat,Le Beaufortain vivra !Dans les maquis de Savoie vous luttezPar votre exemplaritéTant votre foi que votre audace :À l'ennemi faites face.Vous êtes l'âme illuminéeDans la rigueur des sombres heuresMenant vos hommes à la grandeurVirtus honoreL'espoir du triomphe est proche ; vos contréesEntrevoient la libertéVous commandez votre bataillonPar-delà les vallons.Albertville vous tend des bras enchaînés,Vous voulez la délivrerRefusant de verser le sangPrésenté seul en avant.Par cet élan d'humanitéVous honorez et à jamaisVotre mémoire d'une humble gloire :La flamme sacrifiée.Frappé à mortVous succombezAu son des cors Dieu vous a emporté [Mais à présent]Cent Saint-Cyriens [Font le serment]En ce grand soir [Face au parrain]Inspirez-nous du souffle des casoarsDans les combatsPour notre FranceNous lui offrons notre existence,Ducin altum ! La défaite vous révèle à votre France éternelleVotre jeunesse ne peut se contenter d'une nation humiliéeVous montrez à vos aînés, le chemin de la libertéEn sauvant vos frères de la tyrannie en défiant votre ennemiFier officier, tombé dans le DjebelNotre promotion entend votre appelCacqueray, notre panache témoin du sang verséGuidera notre vie à la France consacréeLorsque sonne la victoire vos 20 ans reflètent l'espoirJeune cyrard, la gloire vient couronner votre idéal d'officierVous cultivez l'exigence, dans l'amitié, l'obéissancePour que demain succède au casoar le fier emblème de BayardC'est au royal étranger, en Indochine que vous servezArdent guerrier, courageux lieutenant nul ne retient votre élanTerrassant ses adversaires apparaît un chef exemplaireBlessé meurtri vainqueur dans les rizières que vous quittez, le cœur amerLorsqu'au soir de votre vie, on vous appelle en AlgérieCommandant vos chasseurs dans les Aurès en capitaine sans faiblesseC'est dans le Constantinois que se livre un dernier combatDans un assaut, pris sous le feu rebelle naquit un nouveau Bournazel. (bis)Rapide comme l'éclair dans le fracas des moteursEn pointe de l'attaque toujours nous serons vainqueurMême si l'ennemi nous arrêteLes tanks s'infiltrent et poursuivent la conquête.Si un soir enfin il faut que je succombeSi le char en flamme devient pour nous une tombeLa France a fait battre nos cœursMourir pour la Patrie est notre honneur.Après la souffrance, nous fêterons la victoireN'oubliant jamais ceux tombés en pleine gloireNos morts méritent plus que des pleursNotre devoir est qu'ils vivent en nos cœurs. Nous portons sur la poitrineLes emblèmes de Bazeilles.Le Troisième de MarineA toujours fait des merveilles.Les anciens en soixante dixSont entrés dans la légendeRepoussant seuls contre dixL'offensive des hordes allemandes. En avant fière ColonialePorte toujours au feu les trois couleursEn France et sous la zone tropicaleSois vainqueur, aies du cœur,Sois sans reproche et sans peur.La joie pour toi, c'est la grande bataille.Du Maroc au Tonkin,On a vu nos marsouinsBraver la mort et la mitraille(Avec aux lèvres un gai refrain). ), Chant du 8 RPIMa et Hymne de l'Infanterie de Marine, Chant de la promotion Commandant Barek-Deligny, Chant de la promotion Capitaine Biancamaria, Chant de la promotion Colonel Déodat du Puy-Montbrun, Chant de la promotion Lieutenant Aubert de Vincelles (PNM), Chant de la promotion Sous-lieutenant Le Brizec (PNM), Chant de la promotion Capitaine de Cacqueray, Chant de la promotion Chef de bataillon Bulle, Chant de la promotion Chef de bataillon Segretain, Chant de la promotion Chef d'escadron Raffalli, Chant de la promotion Chef d'escadron Francoville, Chant de la promotion Lieutenant Brunbrouck, Chant de la promotion Lieutenant Carrelet de Loisy, Copyright Aumilitaire.com - Tous droits réservés, "Un certain temps..." de travail des militaires selon la Cour de justice de l'UE, Discussion générale sur l'armée Francaise, critères d'admission aux lycées militaires, Sept des huit hôpitaux militaires ouvriront un centre de vaccination permanent ce mardi, Militaires et pompiers impliqués dans les futurs vaccinodromes, selon Olivier Véran, Militaires du Commando parachutiste de l’Air n°10 et policiers du RAID ont effectué un exercice de contre-terrorisme, L’armée n’a « aucune tolérance » pour les militaires aux convictions néonazies, Le stage de survie SERE des Troupes de montagne, La Légion étrangère, l'exception française #Reporters, 60 secondes Défense : les 60 ans de la Direction générale de l’armement (DGA), William, 14 ans, équipier escadrilles air jeunesse (EAJ), 200 sapeurs parachutistes sur l'opération Malizia, Portrait croisé : parcours de réserviste jeunesse. Frères d'armes avançons côte à côtepour ces missions qui sont les nôtresDe soutenir l'être humainDans les épreuves du destin (bis)Que la noblesse de nos actesSoit le reflet de la nationAfin que chemine le TrainVers de nouveaux horizons.À l'ombre de notre étendardNos cœurs battant à l'unisson"Mieux faire pour mieux servir"C'est le devise du Bataillon.Dignes héritiers de nos ancêtresde la main de Napoléon1807 nous a vu naîtresur tous les fronts nous combattons (bis)Les terres d'Europe, d'Afrique, d'AsieNous ont ouvert la "voie sacrée"De ces campagnes héroïquesHonorons le sang verséHommes femmes de toutes régionsQue nous soyons soldats civilsC'est avec foi qu'il faut agirFace aux défis de l'avenir (bis)Animés de l'esprit soutienQuand sonne l'heure du départCe chant écho de la véritéEst la pour donner l'espoir. Honneur aux morts.Dans les plis du drapeau, en un dernier hommage,Reposez en paix. Et le bras droit ! Sinon le chant du Capitaine Stéphane est magnifique. (bis)Oui mon enfant ils ont tué ton pèrePleurons ensemble car nous les haïssonsCette guerre atroce qui fait pleurer les mèresEt tue les pères des petits anges blonds. Dans la boue les sillonsSous le ciel gris nous marchonsMalgré la fatigue et la pluieMalgré la famine et l'ennuiNous veillons et nous attendonsQue pour nous gronde le canonSi demain il nous appelaitNous partirions sans un regret.La France pleure ses enfantsTombés là-bas au LevantNous garderons leur souvenirComme nous voulons bien servirNos Anciens du LibanNous précèdent en avantVivant pour le même horizonPour la France nous servirons.Sous le soleil brûlantMontaient nos rires et nos chantsNotre sourire était la paixPour tous ces enfants qui souffraientSur nous des orages d'acierSur terre se sont déchaînésPour que sous un ciel bas et noirÀ jamais meurt tout espoir. «Nous sommes dans la merde, mais ce n'est pas une raison pour la remuer.» [ Marcel Bigeard ]. | (bis)Croire et vouloirEt marcher jusqu'au boutCet idéalAvance devant nousNous le suivronsÀ travers tous les champsPromotion Henri Leclerc de HautecloqueSi un dur combat dans cette longue nuitVient éclaircir les rangs, faucher mes camarades.Mon cœur restera plein d'ardeur combattantTandis que ces lueurs sur leurs lèvres tremblantes,Sont gravées dans mon âme et demeurent pour toujours | (bis)Et s'il le faut demain, je tomberais à mon tour. Dors mon petit MarsouinSous ton petit maraboutAu clair de luneBientôt finirontMisères, privationsToutes tes infortunes.Rêve jusqu'au jourAux baisers d'amour,Rêve à ta bruneLà-bas dans la nuitSous ton petit gourbiSous la lune.Mais voici l'été qui s'avance.Le paludisme est sans pitié.Le pauvre petit soldat de FranceDevient sa proie sans plus tarder.À l'hôpital où il délire,Devant son portrait tout froissé,Monsieur le Major vient de dire :"Il ne passera pas la nuit." Il est un moulin au fond de la valléeQui tourne et qui craque sans cesser } BisPartout où je m'en vaisOù je m'en vais,Par montagnes et forêts, et forêts.Le moulin enchanté, je le vois toujoursQui tourne et qui craque sans cesserPartout où je m'en vaisOù je m'en vais,Par montagnes et forêts, et forêts.Le moulin enchanté, je le vois toujours,Ses murs, sa vallée, ses forêts. (bis), Face au ciel le centaure s'avanceTouche si tu l'oses à sa lance acéréePour le succès des armes de la FranceLe cinquante-sept est déjà déployéÔ bouclier de FranceOù viennent se briserLes rêves de puissance face à notre loi d'acier (bis)Vois l'Étendard, flotte la fourragèreVitry les Monts l'Ailette y sont citésOù nos anciens ont abreuvé la terreAvec honneur de leur sang verséLes batteries tour à tour en présenceAppui soutien et feu tous rassemblésEntonnent un chant qui brise le silenceLe cinquante-sept défile en ses quartiers. pan ! Que suis-je donc sur cette terre,Un homme qui est prêt à mourir, prêt à mourir.Un homme qu'on appelle volontaire,Qui sait servir et sait mourir, et sait mourir.Que m'importe cette vie,Pourvu quelle serve à mon idée, à mon idée.Que m'importent toutes ces filles,Que je n'ai jamais su aimer, oui su aimer.Elle était blonde, elle était belle,Et puis un jour elle est partie, elle est partie.En emportant tout derrière elle,Mon cœur, mon chagrin et ma vie, oui et ma vie.Et quand je partirai en guerre,Le cœur triste toujours devant, toujours devant.Je penserai encore à elle,Avant d'crever pour l'régiment, pour l'régiment.Ô femme qui est restée fidèle,Écoute ce chant et réfléchi, et réfléchi.Ne brise pas d'un coup de tête,Un amour et toute une vie, toute une viePense à ce pauvre volontaire,Mort pour se libérer, se libérer.Pense aussi qu'il était fier,Et qu'c'est une femme qui l'a tué, qui l'a tué. À la Bastille.Elle a la peau douceAux taches de sonUne odeur de rousseQui donne le frissonEt dans ses prunellesAux tons vert de grisL'amour étincelleQuand elle nous sourit.Mais celui quelle aimeQuelle a dans la peauC'est Bibi la crèmeLe roi des costaudsCar ça c'est un hommeQu'a pas le foie blancAussi faut voir commeElle l'a dans le sang. Une notice parmi 10 millions PDF. Un pauvre aveugle, qui n'y voyait rienRencontre une dame (bis)Un pauvre aveugle, qui n'y voyait rienRencontre une dame, qui lui veut du bien.Faites lui du bien, bien, bien, bien, bien, bienÀ ce pauvre aveugle, à ce pauvre aveugle !Faite lui du bien, bien, bien, bien, bien, bienÀ ce pauvre aveugle qui n'y voyait rien.Mon pauvre aveugle, voulez-vous des œufsNon merci madame (bis)Mon pauvre aveugle, voulez-vous des œufsNon merci madame, j'en ai déjà deux.Mon pauvre aveugle voulez-vous du painNon merci madame (bis)Mon pauvre aveugle, voulez-vous du painNon merci madame, j'en ai déjà un.Mon pauvre aveugle, mais que voulez-vousJe voudrais madame (bis)Mon pauvre aveugle, mais que voulez-vousJe voudrais madame, coucher avec vous.Mon pauvre aveugle, vous n'y verrez riença ne fait rien madame (bis)Mon pauvre aveugle, vous n'y verrez riença ne fait rien madame, j'y mettrai les mains.