DIALOGUES : Autres aspects respecté de QT des films très bavards en réplique de banalités ou futilités qui deviennent cultes par leur traitement à l'ecran. And who has been more promiscuous with his affections, flirting with everything from grindhouse and exploitation flicks to martial arts, westerns and second world war adventures? Ou plutôt il était une fois 1969, à Hollywood… Quoi qu'il en soit, Tarantino offre quelques scènes Tarantinesques histoire de faire plaisir aux fans de son genre, mais la mayonnaise ne prend pas pour moi. Enfin vu en V.O.S.T (La nouvelle VF je supportais pas). En dehors de ça le scénario developpe une multitude de films dans le film. Watch a trailer for Once Upon a Time in Hollywood. Avec 15 jours de retard, voici ma critique du dernier film de Quentin Tarantino, Once upon a time in Hollywood !Chef d'oeuvre ? Al Pacino est anecdoctique et c'est dommage pour un acteur de sa trempe. J'en veux pour preuve cette séquence du ranch où Cliff ramène une jeune hippie acoquinée à la famille Manson, filmé tel un western se muant en thriller, avec d'un autre bord Rick jouant sa survie dans un énième rôle de vilain en studio, deux visions du cowboy, deux couches différentes, deux films en un, et le spectateur passe par toutes les émotions, c'est sans doute à ce moment précis que j'ai pris conscience de la puissance du montage et du condensé de références de QT, le tout sans abuser de ses gimmicks. Le réalisateur n’a cessé d’expliquer en vain que cela n’était qu’une petite partie d’un film qui parlait d’autre chose. CRITIQUE de Once Upon a Time in Hollywood, un très long conte de fées Le vendredi 16 Août 2019 à 11h44 par Audrey O. Lire ses 1 080 critiques, Suivre son activité Attention spoilers. Relations entre acteurs / équipes. Bienvenue donc en 1969, à Hollywood. Facebook Twitter Linkedin Tumblr Pinterest Reddit WhatsApp Partager par email. Critique : Dans une lettre adressée au public et aux journalistes découvrant le film lors de la première cannoise, ... Once Upon a Time… in Hollywood reste avant tout un immense moment de cinéma, d’une jubilation cartoonesque, qui restera comme l’un des joyaux du maître. L'enfant actrice ultra concentrée face à un acteur en bout de course. J'ai trouvé l'ensemble soporifique, long même si les décors, l'ambiance et les acteurs sont au rendez-vous. Il n'y a qu'à la toute fin que Tarantino se fait plaisir avec dix minutes de violence hystérisée, franchement comique tant elle est traitée au second degré. Par les membres ayant fait le plus de critiques. Le lien est peut-être un peu forcé, mais si je devais rapprocher ce film de quelque chose, ça serait de The Long Goodbye de Robert Altman. Ce prisme critique oppose indirectement representation de la classe sociale et imaginaire. A scene in which an awestruck child whispers to Rick: “That was the best acting I have ever seen” is milked for manly tears. On suit des types paumés en plein Los Angeles, avec des hippies et un animal de compagnie qu'il faut nourrir (un chat chez Altman, un chien ici). Celui de Sharon Tate tout d’abord, que le cinéaste parvient à rappeler à notre mémoire pour autre chose que son destin tragique. Données Personnelles | Avec Once Upon A Time… In Hollywood, Quentin Tarantino signe une oeuvre testamentaire mélancolique et poignante. Reste à mon sens quelques longueurs, même si tout est tellement minutieux & précis et que l'on fait carrément un voyage dans le temps de 50 ans. En conclusion, Once Upon a Time…in Hollywood est un très bon film tout simplement. On se retrouve avec parfois des samples de musique de quelques secondes qui se font couper abruptement par une scène. Mais l'astuce de Tarantino pour malgré tout traiter de la Famille de Charles Manson est assez brillant. Le film en soi et mon ressenti au moment de sa sortie. Disons qu'il arrive à contourner admirablement bien le problème pour qu'on puisse continuer à vivre dans le Hollywood de 1969 qu'il aime tant (et nous faire continuer à l'aimer), tout en proposant une scène d'action tout aussi foutrement sympathique que cathartique. Wet-eyed with self-pity after a straight-talking producer lays out a road map for his irrelevance, Rick hides behind the sunglasses of his confidant and former stuntman Cliff Booth (Brad Pitt). « Once Upon a Time... in Hollywood » est un peu comme le Canada Dry, il a le goût d’un Tarantino, la couleur d’un Tarantino, mais ce n’est pas vraiment un Tarantino tel qu’on l’espérait ! It’s this – the positioning of middle-aged white males as the real victims here, goddammit – that rankles. 9. Tarantino toujours au top et tant pis pour les rouspéteurs. Sans doute que ce film est un déclaration d'amour au cinéma des sixitines et cela explique pourquoi ceux qui ne sont pas connaisseur passent à côté. Pourtant, Once Upon a Time in Hollywood fait preuve de bien plus de maturité que son lointain cousin, encore considéré comme son œuvre-étendard. Autre signe de maturité chez Tarantino : Once Upon a Time... in Hollywood est aussi un film qui arrive à prendre son temps, au profit d'une immersion quasi introspective par moment ainsi qu'à la mélancolie, d'où le côté voyage qui m'a traversé de part en part, cette minutie du détail qui ne nous fait pas douter des intentions, j'ai en tête toute la séquence où Cliff rentre à sa caravane en traversant la ville en décapotable, donner à manger à son chien et regarder la télé, le tout sans que ça n'impacte sur l'action suivante, rappelant furieusement l'intro de The Long Goodbye de Altman, avec tout de même un élément placé en fusil de Tchekhov (vous voyez de quoi je parle). Dans le désert scénaristique du Hollywood moderne, où le spectateur un peu éclairé arrive à tout deviner, où les rebondissements sont devenus hyper prévisibles, ça rafraîchit ! L'auteur de l'article : fredp Voir l'article original C’était l’événement du Festival de Cannes, le nouveau film de Quentin Tarantino avec Leonardo DiCaprio et Brad Pitt arrive enfin sur les écrans. Apprentissage du texte. Who has been more vocal about his passion for the movies, in all their glorious (and inglourious) variety, than Tarantino? Quelques situations tendues, où on s'attend à ce que ça dégénère... et puis non ! Phénomène Tarantino oblige, ONCE UPON A TIME IN…HOLLYWOOD est rapidement devenu l’événement majeur du dernier Festival de Cannes : entre files interminables et mendicité cinéphile, le chaos semblait avoir pris possession de la Croisette, figurant la pression monumentale reposant sur les épaules de ce petit cinéaste d’Outre-Atlantique, venu présenter son 9 ème film. Mais ça reste dans la même veine dans une moindre mesure. Au fond, qu’avait donc à nous apprendre notre Quentin Tarantino à travers cette histoire ? Politique de cookies | Synopsis : En 1969, la star de télévision Rick Dalton et le cascadeur Cliff Booth, sa doublure de longue date, poursuivent leurs carrières au sein d’une industrie qu’ils ne reconnaissent plus. It’s a film that could only have been made by one man. Une façon un peu légère de revoir l’histoire avec un humour ici très contestable et dérangeant... Découvrir un film de Quentin Tarantino, c'est s'attendre à un certain programme attendu (acteurs aux petits oignons parmi lesquels on retrouve des gueules familières, bande-originale soignée, dialogues punchy) sans jamais vraiment savoir à quelle sauce le film va être servi. B.O. SURTOUT, ne partez pas avant la fin ;), Sans spoils : Avis très mitigé avec une pointe de satisfaction qui prédomine quand même. À l’occasion de la sortie d’Once Upon a time… In Hollywood et des 50 ans de la mort de l’actrice iconique, découvrez, ou redécouvrez, trois œuvres qui ont marqué sa courte carrière. Traversant une crise existentielle (c'est assez hilarant de voir Leonardo DiCaprio, superstar depuis toujours endosser un tel rôle avec un tel bonheur, lui qu'on n'avait pas vu au cinéma depuis "The Revenant" et qui démontre une fois de plus son talent d'acteur à travers quelques séquences centrales en passe devenir culte), Rick ne sait que faire de la suite de sa carrière. Pitt : contrairement à son partenaire pas trop d'exercice de composition par rapport à sa filmo. Gestion de carrière et influence de la production. Their fates are linked: “More than a buddy, less than a wife,” is how the film’s narration puts it. L’enrobage du film Once Upon a Time in Hollywood est magique. Il ne se passe presque rien pendant les trois quarts du film, sans que ce soit pour autant désagréable. http://cinephile-critique.over-blog.com. Il y a 2h30 calme sur le Hollywood de 1969 et 10 minutes d'ultra violence et en fait malgré le décor et l'époque, c'est, un western meta. Vladimir Orlowski. J'aime cette manière qu'a le film de suivre ses héros qui font rien, qui mènent leur vie, qui font des conneries... En fait Tarantino propose de vivre le quotidien de ces pauvres types qui aimeraient être plus (en tous cas pour DiCaprio) dans ce monde fantasmé. Comme la majorité de ses films - et plus encore que Les Huit Salopards-, Once Upon a Time in... Hollywood est la mise en image d'un fantasme de cinéphile mais plus encore, d'un fantasme de petit garçon marqué par le monde dans lequel il a en parti vécu mais aussi et surtout, dans lequel il s'est passionnément projeté. Je suis allée me faire mon propre avis et je suis relativement contente et satisfaite du 9ème film de Tarantino. It can also be read as a commentary on Hollywood present. Ce dernier n'apparaîtra d'ailleurs que très brièvement, ce n'est pas le sujet du film comme on a pu le laisser croire. t’s hardly surprising that this, perhaps the most “Tarantino-esque” of all Quentin Tarantino’s movies to date, is a love letter to Hollywood. Et réservé à un public éclairé, voire cultivé. Ex. Once Upon a Time in Hollywood premiered at the Cannes Film Festival on May 21, 2019, and was theatrically released in the United States on July 26, 2019 and in the United Kingdom on August 14. Rien que la qualité du duo porté à l'écran fait que je ne peux pas m'ennuyer. On pensait que cette ballade dans le Hollywood de 1969 allait être un bel hommage au cinéma, elle est bien plus que ça et c'est logique puisque Tarantino a déjà clamé tout son amour pour le cinéma depuis le début de sa carrière. Globalement, QT s'amuse à dérouter le spectateur, à le laisser partir sur des fausses pistes, à le déconcerter... Ce film est sensationnel, un vrai bijou cinématographique. Feu d'artifice ! The heart-tugging music choices; the limber camerawork and tawny nostalgic warmth of Robert Richardson’s cinematography; every last juicy frame set at the Manson family hideout at the Spahn Movie Ranch. Ce qui sort du lot est innatendu : Margaret Queley, fille d'Andy McDowell, très peu connue en dehors de la pub kenzo, a un second rôle ou elle confirme ce qu'elle a prouvé dans cette publicité. On peut donc réunir plusieurs superstars comme DiCaprio ou Pitt pour juste leur faire faire ce que l'on aurait aimé faire si on avait été à Los Angeles à cette période... (à savoir, se battre avec Bruce Lee !) Bref, un bon film. Mais vous pouvez chasser le naturel il revient toujours au galop : flashbacks désopilants, jeu de formats et grains cinéma, cabotinage jouissif, tension explosive, pastiches digressives, bande son omniprésente (et encore une fois géniale, s'amusant de son utilisation extra-diégétique), etc, tout l'attirail estampillé QT est bien là pour contenter au minimum les sceptiques du virage sinueux entrepris, sans compter sur la prestation des acteurs qui déroulent leur palette avec une maestria hors-norme. Grande star des feuilletons de western, nous allons s'immiscer dans sa vie, dans ses tournages, dans ses doutes, dans ses crises de colère etc, tout ça tourné avec un certain humour et de magnifiques plans et paysages qui font voyager dans le passé. Sinon on passe à côté de pleins de clins d'oeil... 4.5/5, Bien, mais un arrière goût qui me laisse Mitigé. Lire ses 609 critiques, Suivre son activité Je suis allé le voir avec plusieurs personnes de différents âges qui connaissent mal la culture américaine et en discutant avec eux après le film, je me suis rendu compte qu'ils n'avaient pas compris le propos du film. Once Upon a Time in Hollywood peine à prendre son élan, QT se perdant parfois dans des scènes comme le tournage de la série western auquel participe Rick qui, si elles lui permettent de rendre hommage à certaines de ses idoles comme le réalisateur Sam Wanamaker (incarné par le premier Spider-man de l’écran Nicholas Hammond) apparaissent comme des digressions.